La Sainte-Cène

La fête de Pâques était une commémoration juive de la délivrance d’Israël de l’esclavage égyptien. Ce fut pendant cette fête avec ses disciples que Jésus institua ce saint repas.

“Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le donna aux disciples, en disant : Prenez, mangez, ceci est mon corps.

Il prit ensuite une coupe; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, en disant : Buvez-en tous;

car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés”. (Matthieu 26:26-28)

En nous rapportant aux enseignements du Nouveau Testament, nous constatons que la Sainte-Cène est aussi une fête mémoriale. Jésus l’a instituée avec une signification toute particulière. Ce n’est plus les dix plaies, la sortie d’Egypte, le passage de l’ange destructeur ou le séjour au désert qui est mis en évidence dans la nouvelle Pâques et, pour que les lecteurs comprennent, le mot “Pâques” signifie délivrance. Un détail, le mot “Pâques” dans l’Ancien Testament s’écrit sans “s” à la fin du mot et, dans le Nouveau Testament, avec “s” à la fin du mot.

Le lecteur trouvera les détails sur la Pâque juive dans le livre de l’Exode au chapitre 12.

Dans le Nouveau Testament, la délivrance c’est Christ – grâce à la mort de Christ et de son sang répandu pour plusieurs pour la rémission des péchés – qui devient la délivrance et l’auteur d’un salut éternel. Christ, par le don de sa vie pour sauver la nôtre, devient un monument érigé dans l’Eglise de Dieu, par lequel les chrétiens renouvellent en esprit chaque semaine la mémoire de la mort et des souffrances de leur Sauveur et Rédempteur bien-aimé.

Le témoignage des pères postapostoliques, tels Barnabas, Justin-Martyr et d’autres, vient à l’appui de cette affirmation. La Sainte-Cène fut célébrée par l’Eglise au premier et au deuxième siècle au “premier jour” de chaque semaine. Quoique ces pères ne furent pas inspirés par Dieu dans leurs écrits comme le furent les écrivains du Nouveau Testament, ils nous présentent néanmoins un tableau fidèle de la façon dont ils observaient le culte dans l’Eglise à leur époque.

Il est intéressant aussi de noter que, dès le début, la Sainte-Cène se célébrait sous les deux espèces, le pain et le fruit de la vigne. Jésus a partagé le pain entre ses disciples, mais il leur a aussi présenté la coupe en disant “Buvez-en tous”. (Matthieu 26-27)

Le Nouveau Testament et l’histoire s’accordent pour nous montrer que l’Eglise, pendant les premiers siècles de son existence, célébrait la Sainte-Cène sous les deux espèces.

Les circonstances de son institution et la manière de l’observer sont rappelées aux Corinthiens par l’apôtre Paul dans le première épitre qu’il écrivit à l’Eglise de Corinthe :

“Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c’est que le Seigneur Jésus, dans la nuit où il fut livré, prit du pain, et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit : Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi. De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez.

Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’il vienne”.

(Corinthiens 11:23-25)

C’est pourquoi nous lisons :

“Le premier jour de la semaine, nous étions réunis pour rompre le pain …” (Actes 20:7)

RESUMONS :

  1. La fête de Pâque était une commémoration juive de la délivrance d’Israël de l’esclavage égyptien. Ce fut pendant cette fête avec ses disciples que Jésus institua le repas, appelé “le repas du Seigneur” avec une signification nouvelle.
  1. Quelque chose de nouveau pour un Royaume nouveau.

“Je vous le dis, affirme Jésus, je ne boirai plus désormais de ce fruit de la vigne, jusqu’au jour où j’en boirai de nouveau avec vous dans le royaume de mon Père”. (Matthieu 26:29)

  1. Une délivrance nouvelle pour un peuple nouveau.

“Alors les nations verront ton salut,

Et tous les rois ta gloire;

Et l’on t’appellera d’un nom nouveau. (Esaïe 62:2)

La délivrance du péché.

Se souvenir de sa mort est une expression de notre foi de ce que sa mort fut pour nous un triomphe et non un échec.

“… Christ est ressuscité des mort, il est les prémices de ceux qui sont morts”. (1.Corinthiens 15:20)

“La mort a été engloutie dans la victoire”. (1.Corinthiens 15:54)

  1. Un jour nouveau a été institué.

“Que personne donc ne vous juge au sujet du manger ou du boire, ou au sujet d’une fête, d’une nouvelle lune, ou des sabbats;

c’était l’ombre des choses à venir, mais le corps est en Christ”.

(Colossiens 2:16,17)

Le sabbat avait une connotation avec l’esclavage en Egypte

“Tu te souviendras que tu as été esclave au pays d’Egypte, et que l’Eternel, ton Dieu, t’en a fait sortir à main forte, et à bras étendu : c’est pourquoi l’Eternel, ton Dieu, t’a ordonné d’observer le jour du repas”.

(Deutéronome 5:15)

 

Le sabbat, avec toutes les exigences qu’il présentait, était une composante de la loi de Moïse, de l’ancienne alliance, de l’Ancien Testament.

La nouvelle alliance étant entrée en vigueur, le chrétien fait allégeance au Nouveau Testament. C’est pourquoi l’apôtre Paul écrira à l’Eglise de Rome :

“Mais maintenant, nous avons été dégagé de la loi, étant morts à cette loi sous laquelle nous étions retenus, de sorte que nous servons dans un esprit nouveau, et non selon la lettre (l’ancienne alliance) qui a vieilli”.

(Romains 7:6)

“Car, lorsque le sacerdoce est changé, il y a nécessairement aussi un changement de loi”. (Hébreux 7:12)

  1. Le premier jour de la semaine est un jour nouveau.

Pour ceux qui se soumettent à l’autorité divine, l’essentiel est de considérer les informations apportées par la Bible.

  1. Jésus ressuscite d’entre les morts le premier jour de la semaine.

Les récits de la résurrection dans les Evangiles commencent tous avec la mention du jour.

“Lorsque le sabbat fut passé … le premier jour de la semaine, elles se rendirent (les femmes) au tombeau très tôt au lever du soleil …”. (Luc 24:1)

“Et voici que ce même jour” (v. 13) se rapporte à l’apparition aux disciples sur le chemin d’Emmaüs, et à d’autres apparitions. (v. 33-35)

Ainsi Luc témoigne que la résurrection eut lieu ce jour (v. 21, 46), “le premier de la semaine”.

“Le premier jour de la semaine, Marie-Madeleine se rendit au tombeau dès le matin, comme il faisait encore obscur”. (Jean 20:1)

Et pour l’évangile de Matthieu, lequel la version de la Colombe apporte une traduction exacte.

 “Après le sabbat, à l’aube du premier jour de la semaine …”

(Matthieu 28:1)

  1. Jésus apparut à ses disciples après sa résurrection le premier jour de la semaine.

Après avoir décrit la découverte du tombeau vide le matin, l’apôtre Jean continue :

“Le soir de ce jour, qui était le premier de la semaine … Jésus vint”. (v. 19)

Thomas n’était pas présent lors de cette rencontre. Au verset 26, nous lisons :

“Huit jours après (le dimanche suivant), les disciples de Jésus étaient de nouveau dans la maison, et Thomas avec eux. Et Jésus leur apparut à nouveau”.

Les repas suivant la résurrection de Jésus avec ses disciples eurent donc lieu le premier jour de la semaine.

Notez le langage eucharistique dans la description du repas à Emmaüs en Luc 24:30-35.

La Pentecôte eut lieu également le premier jour de la semaine (Lv. 23:15 & suivants). Il existait plusieurs calendriers dans le judaïsme au premier siècle, mais Luc suit le calcul officiel des Sadducéens, selon lequel la Pentecôte tombait le premier jour de la semaine. Ceci signifie que tous les événements du chapitre deux du Livre des Actes eurent lieu le premier jour de la semaine :

– la venue du Saint-Esprit

– le premier sermon de la Bonne Nouvelle

– les trois milles convertis

– le début de la communauté chrétienne

– l’Eglise

“Ils persévéraient dans l’enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain et dans les prières”. (Actes 2:42)

Toutes ces activités commencèrent un premier jour de la semaine.

  1. Le témoignage patristique.

Justin Martyr, Apologie 1: 67, nous dit que “Le jour qu’on appelle jour du soleil, tous, dans les villes et à la campagne, se réunissent dans un même lieu”.

Suit alors un résumé d’un service de lecture des Evangiles, d’un sermon et d’une prière.

Et Justin de poursuivre : “Lorsque la prière est terminée, on apporte du pain avec du vin et de l’eau. Celui qui préside fait monter au ciel les prières et les eucharisties autant qu’il le peut, et tout le peuple répond par l’acclamation Amen”.

Viens ensuite une collecte, puis Justin explique : “Nous nous assemblions tous le jour du soleil, parce que c’est le premier jour où Dieu, tirant la matière des ténèbres, créa le monde et que, le même jour, Jésus-Christ notre Sauveur ressuscita des morts”.

Nous retrouvons ici l’essence “des prémices”, ce qui fait penser à l’explication de Paul en 1.Timothée 2:9-15 pour ce qui concerne l’attitude des femmes dans l’Eglise.

Témoignage de Denys, évêque à Corinthe, répondant à Soter, évêque des Romains, qui lui avait écrit une lettre. Denys répond en ces termes : “Aujourd’hui, nous avons célébré le saint jour du dimanche …” (Extrait fait par Eusèbe H.E. IV, 23, 11).

L’épiscopat de Soter va de 166 à 175 env.

  1. La Sainte-Cène, un discernement.

La Sainte-Cène est aussi un discernement spirituel. En disant : “Ceci est mon corps … ceci est la nouvelle alliance en mon sang”, Jésus voulait que ses disciples voient et réalisent dans le pain sans levain un emblème de son corps immaculé qui, le lendemain, devait être immolé, brisé, pour les péchés du monde. Il leur présentait aussi la coupe, contenant le fruit de la vigne, pour symboliser le sang qu’il allait verser comme sceau de la nouvelle alliance.

Le sang est l’élément qui scelle l’alliance, la nouvelle alliance dans le Nouveau Testament, l’ancienne alliance dans l’Ancien Testament.

“C’est pourquoi la première alliance elle-même

n’a pas été inaugurée sans effusion de sang”. (Hébreux 9:18)

Bien que les chrétiens discernent, par la foi, le corps et le sang du christ, ils réalisent, en les prenant, que ces éléments restent toujours du pain et du fruit de la vigne.

En écrivant à l’Eglise de Corinthe, l’apôtre Paul établit cette précision :

“La coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas la communion au sang de Christ ? Le pain que nous romprons, n’est-il pas la communion au corps de Christ ?”. (1.Corinthiens 10:16)

La coupe ne change pas de composition et ne devient pas littéralement le sang de Christ. De même lorsqu’il s’agit du pain, il reste du pain.

Si le corps et le sang de Jésus étaient réellement transsubstitués, c’est-à-dire changés dans leur composition, il serait inutile de parler d’un discernement de ces choses. Lorsque Jésus institue ce saint repas, Jésus est présent, son langage est métamorphique. Les disciples comprennent que la coupe qui leur est offerte symbolise la nouvelle alliance en son sang.

  1. Je propose aux lecteurs d’examiner la position de l’église catholique en ce domaine.

Mais “au plus haut point, Il (Jésus) est présent  sous les espèces eucharistiques”.

Le mode de présence sous les espèces eucharistiques est unique. Il élève l’Eucharistie au-dessus de tous les sacrements et en fait “comme la perfection de la vie spirituelle et la fin à laquelle tendent tous les sacrements” (référence à S. Thomas d’A., s th 3, 73, 3).

Dans le très saint sacrement de l’Eucharistie sont “contenus vraiment, réellement et substantiellement le Corps et le Sang conjointement avec l’âme et la divinité de notre Seigneur Jésus-Christ et, par conséquent, le Christ tout entier” (référence au Concile de Trente : DS 1651).

“Cette présence, on la nomme “réelle”, non à titre exclusif, comme si les autres présences n’étaient pas “réelles”, mais par excellence parce qu’elle est substantielle, et que par elle le Christ, Dieu et homme, se rend présent tout entier”. (MF 39)

Le Concile de Trente résume la foi catholique en déclarant : “… par la consécration du pain et du vin s’opère le changement de toute la substance du pain en la substance du corps du Christ notre Seigneur et de toute la substance du vin en la substance de son sang. Ce changement, l’Eglise catholique l’a justement et exactement appelé transsubstantiation”.

(DS 1642)

“L’Eglise catholique a rendu et continue de rendre ce culte d’adoration qui est dû au sacrement de l’Eucharistie, non seulement durant la messe, mais aussi en dehors de sa célébration; en conservant avec le plus grand soin les hosties consacrées, en les présentant aux fidèles pour qu’ils les vénèrent avec solennité, en les portant en procession”. (MF 56)

Ce qui précède est la position de l’Eglise catholique. Ces changements, en ce qui concerne le changement de toute la substance du pain en la substance du corps du Christ et de toute la substance du vin en la substance de son sang, s’appelle la transsubstantiation.

La transsubstantiation deviendra un dogme qui sera officialisé au quatrième Concile de Latran, convoqué par Innocent III en 1215.

Cette modification en ce qui concerne la Sainte-Cène fut donc officialisée plus de mille ans après l’ère apostolique, c’est-à-dire le temps des apôtres.

Mais, continuons à examiner selon la Bible, les directives proposées par l’apôtre Paul à l’occasion de ce saint repas et dans la manière de l’observer :

“C’est pourquoi celui qui mangera le pain et boira la coupe du Seigneur indignement sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.

Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe”. (1.Corinthiens 11:27, 28)

  1. Participer au repas du Seigneur est un moment solennel

où les enfants de Dieu s’analysent, où ils sondent leurs propres cœurs pour se repentir de toute pensée impure, de toute action indigne, des blessures et tristesses que le chrétien aurait pu infliger à ses frères et sœurs, et pour se consacrer de nouveau à celui qui s’est donné pour eux sur le bois du calvaire.

Les chrétiens se poseront en eux-mêmes ces questions :

“Suis-je, mon Dieu, réellement ton enfant ?

Ai-je été bibliquement baptisé, immergé, pour la rémission des péchés et pour recevoir le don du Saint-Esprit ?”. (Actes 2:37, 38)

Y a-t-il dans mon cœur une idole qui m’empêcherait encore d’être en communion avec mon Seigneur et qui provoquerait la jalousie de Dieu ?

“Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur et la coupe des démons; vous ne pouvez avoir part à la table du Seigneur et à la table des démons.

Voulons-nous provoquer la jalousie du Seigneur ? Sommes-nous plus forts que lui ?” (1.Corinthiens 10:21, 22)

Ai-je commis quelques fautes dont je ne me serais pas repenti ?

Ai-je offensé quelqu’un intentionnellement ou pas sans m’être réconcilié avec lui ?

“Si donc tu présentes ton offrande à l’autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l’autel, et va d’abord te réconcilier avec ton frère, puis viens présenter ton offrande. Arrange-toi promptement avec ton adversaire, pendant que tu es encore en chemin avec lui …”. (Matthieu 5:23-25)

Ai-je compris toute la grandeur et la profondeur de l’amour du Christ témoigné envers moi comme envers “l’autre” par sa mort en croix ?

“Supportez-vous les uns les autres, et si l’un a sujet de se plaindre de l’autre, pardonnez-vous réciproquement. De même que le Christ vous a pardonné, pardonnez vous aussi”. (Colossiens 3:13)

  1. La Sainte-Cène est une communion fraternelle.

Du grec Koinonia, avoir en commun partager, être partenaires, la communion fraternelle est une prise de conscience des effets du corps et du sang du Christ, tels que représentés par les éléments du repas du Seigneur.

“La coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas la communion au sang de Christ ? Le pain que nous rompons, n’est-il pas la communion du corps du Christ ?”. (1.Corinthiens 10:16)

Les chrétiens, en participant à ce saint repas “familial”, en prenant ensemble ces éléments (le pain et le vin), se rendent compte ou doivent se rendre compte des liens d’amour qui existent parmi eux.

“Puisqu’il y a un seul pain” (dit encore l’apôtre Paul aux Corinthiens), “nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps, car nous participons tous à un même pain”. (1.Corinthiens 10:27)

“Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres“. (1.Corinthiens 11:33)

Lors donc, lorsque le pain et la coupe passent parmi les fidèles, il se transmet simultanément un amour fraternel sincère.

“Je vous donne un commandement nouveau. Aimez-vous les uns les autres; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres”.

(Jean 13:34)

C’est pourquoi nous devons célébrer la fête, “non avec un levain de malice et de méchanceté, mais avec les pains sans levain de la sincérité et de la vérité”. (1.Corinthiens 5:8)

  1. La Sainte-Cène, un des cinq éléments qui composent le culte du dimanche dans l’Eglise.

Ces éléments sont :

– la Sainte-Cène

– le chant

– l’étude de la Parole de Dieu

– la prédication

– la prière et la collecte.

Jésus disait à la femme samaritaine

“Mais l’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Dieu est esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité”. (Jean 4:23, 24)

La Sainte-Cène est une fête mémoriale.

La Sainte-Cène est un discernement spirituel.

La Sainte-Cène est un examen personnel.

La Sainte-Cène est une communion fraternelle

Beaucoup d’éléments de base qui ont servi pour rédiger cette étude m’ont été enseignés par S.F. Timmerman.

Passages de la Bible pouvant servir de base aux frères

qui président le repas du Seigneur.

Psaume 118: 22                      Jésus la pierre angulaire

  1. Esaïe 28: 16

Esaïe 53: 4-5                          … Ce sont nos souffrances qu’Il a portées …

Matthieu 26: 26-29                 Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain …

Matthieu 27: 15-25                 Sentence de mort confirmée

Matthieu 27: 26-31                 Outrage des soldats

Matthieu 27: 32-56                 Jésus crucifié

(Des versets peuvent être prélevés)

Matthieu 28                            Résurrection de Jésus

Pour l’établissement de la Sainte-Cène, des passages similaires à Matthieu 26: 26-29 peuvent être prélevés dans les évangiles de Marc 14: 22-25, Luc 22: 15-20 et 1.Corinthiens 11: 23-26.

Actes 13: 23-39                      Prédication de Paul à Antioche de Pisidie

Actes 20: 7                             Le premier jour de la semaine, nous étions réunis

pour rompre le pain …

  1. Corinthiens 15: 1-20 La résurrection de Christ

Le chrétien peut encore prélever les passages dans la Parole qu’il juge s’approprier avec le contexte des souffrances de Christ, l’espérance et la résurrection.